Luc Story…Iii

Le troisième épisode de notre relation s’est passé dans son salon de coiffure.
Je l’appelle pour prendre rendez-vous et je lui précise que j’aimerai passer
plutôt en fin de journée et si possible seul. « Jeudi 18 heures ça te va ? » Me dit-il
« Très bien, alors à Jeudi ! ». Le jour J venu je ne tiens plus en place dès le matin,
je vais retrouver mon amant, depuis 3 semaines son sexe me manque. Je passe la matinée
à me goder ou me balader mon rosebud dans le cul, fantasmant sur sa queue ou en pleine
branlette devant ses photos. Je le bombarde de MMS avec des photos de mon rosebud
planté dans le cul ou des photos en gros plan de mon gland perlé de foutre. Il me
supplie d’arrêter, il est hyper excité et qu’à force ça se voit. Moi ça m’encourage
encore plus et je lui envoie une photo en plein godage.
Après cette longue matinée à m’exciter, je file sous la douche (toujours pareil au
moins deux heures avant et à l’eau clair pour préserver le goût). Cette fois-ci je
serais nu dessous car j’ai un plan en tête. Tout en me préparant je me reluque dans la
glace, cambrant le dos et imaginant son chibre me pénétrer. Une goutte perle à mon
méat et je la laisse pour intensifier les saveurs de ma pine. Il est 16h45 quand je
reçois un SMS où il me dit «J’ai plus personne si tu veux venir avant je suis libre. »
Je me glisse dans mon fute, une chemise à la hâte et en moins de temps qu’il ne faut,
je suis à son salon. Comme à son habitude il m’accueille avec un large sourire.
« Alors je te fait quoi aujourd’hui ? », « Tu me rafraichis un peu et une petite
pipe ! ». « Bon, alors j’attaque par les cheveux je descendrais en bas plus tard » et
nous en rions comme des gosses. Je m’installe au bac à shampoing, j’enfile la blouse
et pendant qu’il est occupé à préparer les shampoings, je dégrafe mon pantalon, je
reste le plus discret possible, je veux que la surprise soit totale.

Luc me shampouine
et le plus discrètement possible j’essaie d’extraire ma pine, quelques contorsions
sur le fauteuil m’aide à la mettre hors de sa tanière. Voilà pourquoi je n’ai rien mis
dessous. Maintenant la blouse fait comme un petit chapiteau devant moi. Il me sèche
les cheveux et d’une voix surprise me dit : « Non t’as sorti ta queue ? », « Regardes
! », il soulève un peu le pan de la blouse et aperçoit mon mat tout érigé et très
excité. Il jette un œil vers sa vitrine pour voir si personne ne passe devant,
s’agenouille devant moi, passe sous le tissus, la prend en bouche deux secondes. Il
ressort très vite et me traite de salaud, moi je suis aux anges. Je me lève pour
changer de poste et j’aperçois l’effet de ma surprise à la taille de la bosse qui lui
déforme le pantalon. « Humm, jolie bosse ! », « Ce matin tu m’as mis dans le même
état, je coiffais deux mémères, heureusement qu’elles papotaient entre elles, je crois
qu’elles n’ont rien vu. », « T’es quand même une belle salope quand tu t’y mets », moi
j’en rigole.
Assis sur son tabouret de travail il virevolte autour de moi, quand il passe du
côté vitrine et qu’il me cache un peu, je soulève de temps en temps la blouse pour lui
montrer que je suis toujours en pleine vigueur et discrètement je caresse sa braguette
déformée par l’érection qui le tenaille depuis le début. Je n’ai qu’une envie, ouvrir
sa cage et cajoler ce bel oiseau. Ce petit jeu à durer le temps du coiffage.
Une fois fini, je me relève et j’essaie tant bien que mal à remettre de l’ordre
sous la blouse avant qu’il ne me la retire. « C’est bon je peux la récupérer, tu es
décent en dessous ? » me demande-t-il, « Oui, tu peux ». Luc remet la blouse au
vestiaire et va fermer la porte du salon, il éteint les lumières et m’invite à visiter
son arrière-boutique. Un simple rideau sépare les deux pièces.
Le rideau passé on se
jette l’un sur l’autre. Nos lèvres se dévorent et nos mains prennent possession de nos
sexes engorgé de plaisir à la limite de la rupture. Il sort ma queue assez rapidement,
moi je bataille avec son ceinturon et les boutons de braguettes. Luc m’aide un peu et
nous voici tous les deux la bouche collée, les mains branlant ses pines toutes
heureuses du traitement qu’on leur fait subir. Je libère sa bouche et m’agenouille
face à son pieu qui me provoque. Je le pompe avec avidité et gourmandise. Mon sucre
d’orge n’a pas le goût habituelle, il est plus prononcé, c’est sûr il s’est branlé ! «
Tu t’es branlé toi !!! », « Attend, tu m’allumes comme un malade, tu crois que je
n’avais pas eu envie avec tout ce que tu m’as balancé ce matin ? » « Mais rassures toi
j’ai rien craché tout est encore là. ». Il a dû perler c’est sûr, ce goût de foutre
débloque en moi l’irrésistible envie de le boire. Je lui murmure à l’oreille « Je
veux que tu me craches tout dans la bouche ! ». On se roule une pelle volcanique. Luc
me soulève et m’assois sur le rebord d’un évier. Les jambes entravées par le pantalon
j’ai du mal à trouver ma position. Il me libère de ces chaines en tissus, très vite
j’écarte tout et je me place bien au bord de l’évier, laissant libre accès à ma
rondelle qu’il dévore avec frénésie. Il se relève, se tartine le gland de salive et
vient titiller ma rosette ouverte prête à le recevoir. La position est inconfortable,
je redescend et lui tends mon cul en me cambrant au maximum. La pièce est exigüe,
encombrée de cartons de différents produits, Luc à du mal à trouver le passage je me
courbe encore plus m’appuyant sur une pile de carton posée devant moi. L’accès est
libre à présent. Pris par l’excitation, mon amant enfourne sa pine sans ménagement, me
déchirant quasiment l’anus. Je pousse un cri de douleur et je bascule en avant, La
douleur fut si intense que je suis au bord de l’évanouissement.
Le temps de reprendre
mes esprits, la douleur s’estompe peu à peu. Et attendant je pompe de nouveau se
chibre turgescent. Je reprends position, mais cette fois-ci c’est moi qui le guide et
je m’empale tout doucement, par petit palier, l’effet est tout autre que tout à
l’heure. Je me sens allé à un plaisir certain et j’enfonce complètement sa bite en
moi. Mon cul est maintenant bien dilaté, ses pénétrations sont douces et agréable. «
Tu veux éjaculer dans ma bouche ou dans le cul ? », « Dans ta bouche ! » Me dit-il. Il
continue de me besogner encore un bon moment avant de se retirer. Je me tourne vers
lui, j’att sa queue entre mes lèvres et dans un bruit de succion je le pompe
attendant avec impatience son flot de nectar. J’accélère mes mouvements de tête, sa
queue se raidi de plus en plus, elle devient dur comme du bois, je sens le canal se
gonfler. Luc hurle son plaisir, déversant un flot saccadé de purée dans ma gorge. Le
liquide est chaud, il s’étale sur ma langue. Je dégluti ce sirop avec avidité, je
creuse mes joues pour extraire les dernières gouttes que je fais rouler sur la langue
pour en apprécier toutes les saveurs. J’enroule son gland de la langue pour ne rien
laisser. Avant de la libérer complètement, je parfais sa toilette pour la lui rendre
propre. Luc veut la revanche mais mon bonheur est comblé et j’en reste là, la bouche
embaumée de son parfum intime.
Nous nous rajustons avant de repasser dans le salon. Ce fut encore un moment
magique passé avec lui, mais attendez la suite, vous verrez ce mec à des ressources…


Suite au prochain épisode…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!